Le corps, l’esprit et l’écrit

Quand le soleil est aimable, j’en profite pour enfourcher mon vélo et partir en balade dans nos collines très appréciées par les vélos touristes. 
À la sortie du village, je passe devant une salle de sport où, derrière des grandes baies vitrées, des personnes pédalent et transpirent sur des vélos d’appartement. On se fait un petit coucou…

Pour éviter le burn-out, par besoin de décompresser ou pour rester en forme, des milliers d’entre nous sont devenus adeptes des salles de sport où il est bien de faire de l’exercice, bon pour le corps et l’esprit.

Les propositions de développement personnel nous promettant une meilleure vie ne cessent de fleurir sur Internet.
Avec, en tête, Christophe André le pape de la méditation, en pleine forme sur tous les médias. Quand vous tapez « Méditation » sur Google, plus de 4 millions de résultats apparaissent !

Aucun lien avec l’écriture ! direz-vous, et vous n’aurez pas tort. Sauf, si vous avez l’intention d’écrire un livre sur le développement personnel. Ce genre d’ouvrage qui, s’il est écrit sous un angle original et très marketing, peut trouver des milliers de lecteurs.
U
ne recherche préalable sur Internet suffit pour vous indiquer quel est le bon filon à exploiter actuellement. Mais, écrivez vite, une mode est toujours passagère.

Jetez un oeil sur les vitrines de librairies. Est-ce simplement un hasard si depuis quelques années, les grands éditeurs publient tant d’ouvrages sur le bien-être, le développement personnel, la spiritualité et la méditation ? Ces bouquins qui font du bien, vous promettent de lâcher prise et de mieux vous connaître.

Je suis hors-n’homme. Un neuroatypique à dominance dyslexique atteint d’aphantasie : incapable de fabriquer des images mentales et de se représenter un lieu ou un visage. Mes facétieux neurones font des croche-pieds aux mots dans mon cerveau et mon orthographe trébuche souvent quand j’écris. Si vous remarquez une faute, merci de me la signaler : blog.entre2lettres(at)gmail.com

11 réponses

  1. ACHILLE dit :

    Il y a deux sortes d’écrivains, ou d’ « écrivants » :
    Ceux qui écrivent pour vendre (et donc faire de l’argent). Dans ce cas, vos conseils sont pertinents, internet est une véritable mine.
    Et puis il y a ceux qui écrivent par urgence, par désir, par plaisir, ils écrivent ce qu’ils veulent (et non pas ce que veut soit-disant un public pré-formaté par les publicités ambiantes).
    D’un côté, de bons techniciens. De l’autre, des écrivains. D’un côté, le guide pratique, de l’autre, la littérature.
    Les deux sont respectables, mais ils ne jouent pas dans la même cour. (J’ai écrit « ceux » et « ils », mais j’inclus les dames, je ne voulais pas me lancer dans l’écriture inclusive !)

  2. Laurence Noyer dit :

    Le Tai Chi ,que je pratique depuis plus de dix années, est aussi un moyen d’expression de la langue française
    Je trace chaque matin des signes dans l’espace
    J’écris le vent, je danse les mots au gré de ma respiration
    Écriture aérienne, méditation en mouvement
    J écris de la main,du corps et de l esprit

  3. Michel-Denis ROBERT dit :

    A chacun sa méthode. La solution est dans les maux, dans les mots, dans l’émotion, dans l’expression, dans l’adjectif.
    Personnel veut dire à chacun de la trouver.
    Pas besoin de méthode, pas besoin de bouquin.
    Le meilleur coach c’est Pascal !

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